La dyspraxie handicape l’enfant dans sa vie quotidienne et dans sa scolarité. Mieux la diagnostiquer, mieux la comprendre permet de mieux la prendre en compte.
Ainsi certains troubles associés (les troubles de l’attention, notamment) sont à traiter en priorité : « tant que l’enfant n’est pas capable de maîtriser son attention, sa concentration, sa dispersion, les autres aides qu’on lui apporte sont sans effet ».
Michèle Mazeau explique avec des exemples concrets les difficultés ressenties par les enfants dyspraxiques, encore souvent condamnés à subir un sur-handicap (la « double-tâche »). Elle indique les conditions de réussite des aides et palliatifs proposés pour contourner les difficultés de ces enfants.